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Cet article participe à l’événement interblogueurs « Vos secrets pour passer à l’action ». Cette initiative est proposée par le blog Mon Bagage Culturel, qui propose des contenus pour développer sa culture générale.
Un article que j’ai adoré ? 10 habitudes à semer aujourd’hui pour apprendre des choses intéressantes chaque jour
Par peur de ne pas réussir quelque chose… vous préférez ne rien faire ? Comme ça, ni vu, ni connu, personne ne se moquera de vous, personne ne vous critiquera et personne ne pourra dire que vous n’êtes pas à la hauteur, surtout pas vous !
Quand on cherche à toujours bien faire les choses, qu’on a un « petit » côté perfectionniste, c’est une tentation presque irrésistible.
Oui mais voilà. En ne passant jamais à l’action, les retards s’accumulent, vous stagnez, et surtout, vous n’apprenez rien. Vous ne progressez pas. Conséquences ? Vous vous dévalorisez.
En tant que perfectionniste, j’ai souvent fonctionné comme ça : remettre à plus tard. Et je me souviens du jour où j’ai acheté mon premier ordinateur… celui avec une tour dernier cri et lecteur de disquettes intégré ! Quand je l’ai acheté, je brûlais d’envie de l’utiliser… mais j’étais morte de trouille à l’idée de ne pas réussir à le connecter à internet.
Aujourd’hui, c’est automatique, mais à l’époque, il y avait quand même quelques manipulations à effectuer avant d’avoir un matériel connecté au reste du monde.
Alors mon PC Magazine en main, j’ai pris une grande inspiration en me disant que si je n’essayais pas, je ne saurais jamais si ça marche ou non… Et je me suis lancée. Je n’en menais pas large, mais j’ai suivi pas à pas la procédure indiquée dans mon journal : j’ai branché le modem à la prise de téléphone (oui, celui qui faisait des bips bips stridents avant de se connecter), raccordé l’autre câble à l’ordinateur, renseigné les paramètres, ouvert le navigateur… Et Suspense… Ça a fonctionné ! Ouf !!!
Depuis, je suis toujours perfectionniste et j’ai toujours peur de mal faire les choses (on ne se refait pas), mais j’ai progressé… Et je passe à l’action plus facilement !… Bon, sauf pour la déclaration d’impôts et les formulaires administratifs. Faut pas trop en demander non plus !
Comment braver ses terreurs malgré la peur du jugement et du regard des autres, et oser passer à l’action sans paniquer ?
Je vous livre quelques-uns de mes secrets, à utiliser sans modération.
Le premier ?
Secret #1 : Se connaître

Tout a commencé lors d’une formation en Ennéagramme. Cela a été pour moi, une véritable révélation.
Vous ne connaissez pas ? Oh lala… vous ne savez pas ce que vous perdez ! C’est une grille de lecture de personnalité hyper complète qui donne les caractéristiques de 9 types de base.
Alors vous allez me dire, résumer l’humanité à 9 typologies, c’est hyper réducteur !
Effectivement. Mais ce sont des typologies avec des caractéristiques communes, exactement comme une palette de couleurs : le bleu, le vert, le jaune, le rouge, le violet, le rose…
Prenons les bleus. Vous avez le bleu clair et le bleu foncé ; le bleu ciel et le bleu marine ; le bleu pâle et le bleu roi ; le bleu pastel et le bleu turquoise… Ils sont différents, mais ont une caractéristique commune : le bleu.
Il en va de même des personnalités. Nous sommes tous différents, mais les perfectionnistes ont tous en commun d’avoir peur du jugement, du regard des autres, des critiques… et de faire des erreurs, surtout lorsque d’autres personnes en sont témoin.
A lire aussi – Comment travailler avec une perfectionniste
Vous voyez le problème ? Du coup, la simple possibilité de se tromper — même en imagination — nous paralyse. Et lorsqu’on est figé… difficile de se mettre en mouvement et de passer à l’action !
Une fois qu’on a identifié le problème, cela nous amène tout droit à mon second secret : l’antidote !
Lequel ? C’est ce que je vous révèle sans plus attendre…
Secret #2 – Changer ses pensées

Une fois identifié mon type de personnalité, cela a été plus facile de chercher des solutions pour museler la peur et avancer sereinement.
Parce que si en fond sonore vous avez des pensées comme « c’est trop dur, je ne sais pas faire » ou « je risque de ne pas y arriver, ça va être horrible », ça met tout de suite la pression !
Alors qu’en adoptant un esprit de croissance progressive et en acceptant de fonctionner par essai/erreur, comme si vous réalisiez un puzzle… la tension baisse instantanément.
Ce qui m’a aidé ? D’abord le Design Thinking.
Kesako ? Le Design Thinking, c’est une façon de trouver des réponses à un problème en partant des besoins réels, en imaginant des solutions, en créant des prototypes pas complètement finalisés, puis en recueillant l’avis des utilisateurs pour améliorer le résultat jusqu’à ce que le produit final leur convienne.
C’est grâce à ce principe que plein d’entrepreneurs ont connus le succès. Plutôt que de travailler seul en chambre et de lancer un produit finalisé qui n’intéressera personne, ils fonctionnent étape par étape.
L’un des exemples les plus connus est celui de Steeve Jobs, lorsqu’il a créé son premier ordinateur. Son exemple m’a vraiment inspiré. Vous connaissez l’histoire?
Steve Jobs aurait demandé à un commerçant du quartier de tester l’ordinateur dans son établissement. La légende raconte que ce commerçant a renversé son café sur le clavier par mégarde et lui a dit : « Vous devriez prévoir quelque chose pour protéger le clavier, parce que ça arrive souvent de renverser un café ».
Jobs est alors retourné dans son garage, ordinateur sous le bras, pour fabriquer une version améliorée de l’appareil.
C’est ainsi qu’est né l’ordinateur tel qu’on le connaît aujourd’hui.
Inspirant, non ?
Cette philosophie m’a amenée à remplacer mes « je ne vais pas y arriver » par deux formulations, selon mon humeur et les circonstances : « j’essaie et je verrai » ou bien, « Yes, I can ! »
Résultat ? Ca me place tout de suite dans une autre énergie ! Très efficace pour réduire drastiquement le niveau d’appréhension… et trouver la motivation de se lancer dans une nouvelle aventure !
Mais parfois, la peur est le signe d’un danger réel. Dans ces cas-là, il vaut mieux prendre le temps d’y réfléchir avant de foncer tête baissée. Se rassurer au préalable est une autre stratégie tout aussi efficace.
Comment procéder ? C’est ce que je vous dévoile dès à présent !
Secret 3# – Anticiper les difficultés… et les contourner

Parce que oui, se lancer c’est bien, mais encore faut-il savoir où on va !
Réussir, c’est comme une recette de cuisine : il est à la fois indispensable de savoir quel plat on veut préparer et tout aussi essentiel d’avoir connaissance des ingrédients dont on va avoir besoin !
Reconnaissez que si vous réalisez une salade d’avocat rafraichissante, ce n’est pas la même chose que de mitonner un délicieux bœuf bourguignon maison ou de préparer un succulent gâteau au chocolat bien moelleux !
Pour démarrer, il peut donc être intéressant de recevoir un petit coup de main… et il n’y pas de honte à se faire aider !
Les coups de pouces peuvent être aussi divers et variés que les ingrédients d’une recette : un livre ou un magazine spécialisé, comme je l’ai fait au moment d’installer internet sur mon ordinateur ; regarder un tuto sur Youtube pour estimer le niveau de difficultés et repérer les moments les plus challengeant pour soi ; s’inscrire à une formation si le sujet est vraiment complexe ; faire appel à un ami ou un collègue extrêmement calé lorsqu’on rencontre un blocage ; solliciter un mentor ou encore recourir à un coach qui nous aidera à prendre confiance en soi et à aller chercher des ressources qui nous sont propres et dont nous n’avons pas conscience ; déléguer une partie très technique à un professionnel ; etc.
L’idée ici, est de se préparer à une compétition de haut niveau ! Aucun grand sportif professionnel ne se lance dans un combat ou dans un tournoi sans préparation. De la même manière, les managers des grandes entreprises font désormais appel à un coach pour développer les compétences clés de leurs missions et se dépasser.
Alors pourquoi vous brider et rester seule pour avancer ?
Votre ego vous pousse à vouloir être autonome et à vouloir faire tout, toute seule ?
Posons-nous un instant… et réfléchissons. Comment avez-vous appris votre langue natale ? Comment avez-vous appris à lire et à écrire ? Comment en êtes-vous arrivée à exercer le métier que vous exercez aujourd’hui ? Nous sommes d’accord ? Vous avez reçu un enseignement ?
Pourquoi devrait-il en être autrement une fois entrée dans la vie active ?
Pour ma part, je n’ai jamais cessé de me former. Avec des livres et des magazines spécialisés en informatique, en présentiel avec des formateurs, dans des salles où je suivais des programmes enregistrés – bien avant l’arrivée de YouTube –, des formations en développement personnel, et plus récemment grâce à des tutoriels pour la création de vidéos et des podcasts sur des sujets très variés (psychologie, philosophie, témoignages de personnes inspirantes, santé, alimentation, neurosciences, intelligence artificielle…).
Pour moi, cela n’a jamais été un aveu de faiblesse, mais au contraire une façon d’avancer plus sereinement et aussi de nourrir ma curiosité.
Je pense que cela a grandement contribué à augmenter ma confiance en moi, car une part de moi sait qu’elle a plein de ressources (internes et externes) à sa disposition.
Or la confiance en soi est l’une des bases pour passer à l’action !
Se former, se préparer, se faire accompagner… C’est un premier pas essentiel pour dépasser la peur de ne pas savoir et oser avancer.
Mais même avec toutes les ressources du monde, une question demeure : que se passe-t-il quand les choses ne se passent pas exactement comme prévu ? Quand l’erreur surgit, ou quand le résultat est loin d’être à la hauteur de nos attentes ?
C’est ici qu’entre en jeu une autre clé précieuse que je vous partage tout de suite…
Secret 4# – Accepter l’erreur et l’échec comme une étape de l’apprentissage

Le jour où j’ai découvert qu’on ne peut pas apprendre sans faire d’erreur et que le meilleur moyen d’avancer était de connaitre des échecs, cela m’a fait l’effet d’un électrochoc !
Quoi ? Comment ? Commettre des erreurs ? Avoir des échecs ? Mais ils sont fous ces Romains ! J’ai mal entendu ! Vous pouvez répéter ?
Ah, non en fait. J’ai parfaitement entendu !
Mais alors, on m’aurait induite en erreur pendant toute ma scolarité ? Réussir ses exercices, avoir 20/20 aux contrôles et obtenir ses diplômes du premier coup… ce n’est pas la preuve absolue qu’on a de la valeur, qu’on est plus intelligent que les autres ni qu’on saura réussir sa vie ?
Eh bien non… Au contraire ! Vous comprenez mon émoi face à cette annonce ?
Quand on est bonne élève, on a juste appris à faire les choses « comme il faut », à obéir aux ordres et à se conformer aux attentes des personnes ayant un statut supérieur au nôtre (enseignants, directeur d’école, parents…) – ce qui, je l’ai découvert par la suite, est le but recherché par nos dirigeants. Ils veulent des gens qui rentrent dans le rang.
Mais dans la vraie vie, ce n’est pas comme ça que ça marche.
A propos de marche, prenons l’exemple d’un jeune enfant prêt à faire ses premiers pas. Vous en avez certainement observé. Alors, en avez-vous croisé un seul qui du jour au lendemain est passé du 4 pattes à la course de fond ? Non ! On estime qu’en moyenne un enfant tombe environ 2 000 fois avant de savoir marcher.
Quelques années plus tard, les enfants qui entrent à l’école… Y en a-t-il un seul au monde qui a pris un crayon et s’est mis à écrire du jour au lendemain ? Non plus. Nous avons besoin d’une période plus ou moins longue avant que notre main et notre cerveau se coordonnent.
Entre le jour où bébé attrape un stylo sur la table et nous fait de jolis gribouillis complètement anarchiques sur le contrat qu’on doit renvoyer signé, et celui où il réussit à écrire son prénom ou « Maman » pour la première fois dans son cahier… il s’écoule en moyenne entre 3 et 4 ans…
Et pourtant, une fois devenues adultes, nous continuons de croire qu’il faudrait tout réussir du premier coup. Que si nous faisons une erreur, c’est que nous ne sommes pas capables. Cette croyance est l’une des principales raisons qui nous paralysent quand nous voulons passer à l’action.
A lire aussi – 7 stratégies pour surmonter l’échec et prendre du recul
Nous préférons parfois ne rien faire plutôt que de risquer de nous tromper… Parce que ce n’est pas bien, comme je le croyais dur comme fer à l’époque. Comme si l’échec disait quelque chose de notre valeur. Comme si agir imparfaitement était pire que rester immobile.
Mais la vérité, c’est que l’inaction n’apporte aucune expérience, aucun enseignement, aucune confiance en soi. C’est seulement en faisant – même maladroitement – que vous gagnez en confiance en vous et pouvez progresser.
Vous êtes la preuve vivante que vous savez apprendre. Vous l’avez fait des dizaines de fois depuis l’enfance. Pourquoi cela s’arrêterait-il aujourd’hui ?
Et puis, rappelez-vous que ce que vous considérez comme une faute grave ou un défaut impardonnable est souvent perçu comme un simple détail par votre entourage.
Vous pensez peut-être qu’un titre mal centré, une virgule oubliée ou des puces de PowerPoint qui ne sont pas parfaitement alignées vont décrédibiliser tout votre travail ?
En réalité, la plupart des gens ne le remarqueront même pas. Ce qu’ils retiennent, ce sont vos idées, votre énergie et la valeur de votre contribution. Le reste, ce n’est qu’une banale fioriture.
Alors, si vos petites imperfections ne définissent pas votre valeur… qu’est-ce qui compte vraiment ? Qu’est-ce qui peut vous aider à avancer, même quand la peur vous retient encore ?
C’est justement ce que je m’apprête à partager avec vous… Alors, on continue ?
Secret 5# – Retrouver la raison qui vous donne envie d’avancer
Source : Blog de Cadre - Dall-e
Quand on a peur de mal faire, on se focalise tellement sur le résultat idéal auquel on souhaite arriver… qu’on en oublie pourquoi on a envie d’agir. On se raccroche à la perfection comme si elle était la seule justification valable… et ça nous paralyse.
D’ailleurs, dans les critères SMART, un objectif doit certes être Ambitieux, mais aussi Réalisable. Le hic quand on est perfectionniste, c’est qu’on se fixe des objectifs tellement ambitieux, qu’on ne sait plus comment commencer ni par quoi débuter… et on a l’impression que c’est irréalisable. Alors on repousse à plus tard. Encore et encore.
A lire aussi – Gagnez du temps, fixez-vous des objectifs SMART !
L’une de mes parades peut consister à diminuer mon niveau d’ambition… ou d’exigence, c’est selon.
Mais j’ai surtout découvert une astuce hyper motivante, qui m’aide à déplacer des montagnes ! Un truc incroyable qui décuple mon énergie et me donne l’élan de passer à l’action sans attendre !
Un truc absolument dingue qui transforme mes peurs en un carburant inépuisable pour avancer !
Un truc fou tellement puissant qu’il me donne l’impression que plus rien ne peut m’arrêter !
Et le plus beau, c’est que sur des sujets de longue haleine, lorsque ma motivation est en berne, il me suffit de me le remémorer pour repartir de plus belle.
Vous voulez connaitre ce secret ?
Oui ? Alors posez-vous cette question toute bête : pour quoi je veux la faire cette chose ? Attention, pas pourquoi, pour quelle raison, mais bien POUR QUOI. Dans quel but ? En quoi ce que je veux réaliser est important pour moi ?
Généralement, c’est un but qui nous dépasse. Un motif plus grand que nous. Quelque chose qui va apporter … à notre entourage, à notre communauté, voire à l’humanité.
Une fois ce pour quoi trouvé, c’est tellement puissant, que votre propre personne passe au second plan. Vous vous dites que vous n’avez pas le droit de ne pas le faire. Que vous n’avez pas le droit de ne pas y arriver. Comme Ethan Hunt dans Mission Impossible : prêt à relever tous les défis, à braver tous les dangers, à prendre tous les risques même si les chances de réussir sont ultra minces.
Des exemples réels, cette fois ?
Pour vous montrer qu’il n’y a pas qu’une seule façon de trouver son “pour quoi”, voici quelques exemples de femmes qui ont avancé malgré la peur :
- Malala Yousafzai

Elle s’est battue pour le droit des filles à l’éducation au Pakistan. Malgré un attentat qui a failli lui coûter la vie, elle a continué à prendre la parole, animée par sa mission de défendre la liberté d’apprendre.
- Rosa Parks

Le jour où elle a refusé de céder sa place dans un bus, elle savait qu’elle risquait gros. Mais son objectif – la dignité et l’égalité – était plus fort que sa peur. Ce geste a marqué l’histoire des droits civiques aux États-Unis.
- Marie Curie

Elle a persévéré dans ses recherches sur la radioactivité malgré la méfiance de l’establishment scientifique et les difficultés financières. Son désir de comprendre et de faire avancer la science était plus grand que la peur de l’échec ou du jugement.
- Simone Veil

Survivante des camps de concentration, elle s’est battue pour faire adopter la loi sur l’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse). Malgré les violentes critiques, elle savait que c’était juste. Son pour quoi l’a portée au-delà des attaques. Son combat a permis à des générations entières de femmes de disposer de leur corps et de décider de leur maternité.
- J.K. Rowling

Avant de publier Harry Potter, elle a essuyé douze refus d’éditeurs, tout en élevant seule sa fille. Elle n’a jamais cessé d’écrire, pour prouver qu’on peut transformer la solitude, la tristesse et le manque d’espoir en une histoire qui inspirerait des millions d’enfants (et d’adultes).
- Dorine Bourneton

Hémiplégique suite à un crash d’avion, elle s’est battue pour que des personnes handicapées comme elle, puissent avoir le droit d’être pilote d’avion professionnel. Avant son intervention, il était interdit aux personnes handicapées de devenir pilote professionnel ou de voltige.
Regardez cette excellente vidéo sur Legend, à partir de 33:04 (jusqu’à 37:22)
Est-ce que toutes ces femmes ne sont pas inspirantes ? Si elles ont pu le faire, vous le pouvez également. Car la vérité, c’est qu’aucune action n’a besoin d’être parfaite pour être utile, nourrissante ou porteuse de sens.
Alors la prochaine fois que vous n’oserez pas passer à l’action par peur de mal faire, prenez un instant pour vous demander : Pour quoi est-ce important pour moi de faire cette chose ? Qu’est-ce que j’ai envie d’apporter de positif à d’autres personnes ? En quoi est-ce aligné avec mes valeurs ?
Ca peut juste être pour vos enfants. Pour leur montrer que tout est réalisable et voir briller des étoiles dans leurs yeux.
Et comme le dit si bien Dorine Bourneton, l’important n’est pas d’aller contre quelqu’un mais pour quelqu’un.
Et si agir pour quelque chose – ou pour quelqu’un – était justement la meilleure façon d’avancer pas à pas, sans se laisser submerger par la peur ?
Pour vous y aider, j’ai envie de vous partager un petit bonus tout simple, mais terriblement efficace…
✨Bonus – Le rituel des célébrations

Parce que passer à l’action quand on a peur de mal faire, mérite d’être reconnu. Aussi, je vous invite à célébrer chaque étape. Chaque fois que vous avez appliqué l’un de ces 5 secrets – même de façon imparfaite – prenez un instant pour vous féliciter.
Vous pouvez le faire de mille manières : vous dire “Je l’ai fait”, cocher une case sur une liste, vous offrir un petit plaisir, ou simplement savourer la fierté d’avoir osé et avancé.
Ces micro-célébrations n’ont rien d’anecdotique : elles rappellent à votre cerveau que chaque pas compte, nourrissent votre confiance et entretiennent la flamme pour continuer.
Pour conclure
Quand j’étais jeune, je pensais qu’il suffisait de bien préparer les choses, de ne pas faire d’erreurs et de tout maîtriser pour avancer sereinement.
Et puis j’ai commencé à m’intéresser au développement personnel et j’ai découvert d’autres façons de penser et de faire que la mienne. Je me suis intéressée à l’histoire de personnalités qui osaient tenter, qui se lançaient sans attendre d’être prêtes, qui ont connu des revers cuisants mais ont rebondi de façon incroyable et fini par connaitre la réussite… alors que moi, je restais souvent bloquée à force de vouloir tout faire parfaitement, dans les règles.
J’ai compris que ces personnes n’étaient pas plus capables, ni plus courageuses. Elles avaient simplement accepté que l’action imparfaite valait mieux que l’inaction parfaite.
La mission que je me suis donnée ? Partager ces découvertes et ces clés au plus grand nombre, pour vous faciliter l’accès à ces connaissances et vous faire gagner un temps précieux. Maintenant, à vous de choisir : attendre d’être prête, ou décider de passer à l’action, même si ce n’est qu’un tout petit pas.
La seule question qui compte, c’est : qu’est-ce que vous pourriez accomplir si vous acceptiez de vous lancer ?
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Qu’est-ce qui vous empêche parfois de passer à l’action ? Qu’aimeriez-vous oser, même imparfaitement ? Parmi ces secrets, lequel vous a le plus parlé et que vous êtes prête à appliquer dès maintenant ?
Et si votre première action était de laisser un commentaire ?
Blog de Cadre est également là pour vous accompagner dans votre quête de développement personnel et professionnel. Pour plus d’informations ou pour un accompagnement personnalisé, prenez contact avec moi en cliquant ici. Je vous répondrai rapidement !
Super article ! Mention spéciale aux exemples de femmes que tu cites et qui se sont battues pour leurs convictions.
Une phrase qui m’aide à passer à l’action : « que tu fasses quelque chose ou que tu ne fasses rien, il y aura toujours quelqu’un pour critiquer, alors autant faire ce que tu veux »
Merci Magdalena ! Et merci pour ton témoignage
Je suis pour le moment dans un grand projet et éviter de passer à l’action n’est pas une option.
Merci pour ton article, en attendant je travaille sur accepter les émotions qui arrivent quand j’ai des « échecs ». Et je me prépare à avoir pleins d’échecs
Ah oui. J’ai hésité à le mettre aussi : l’obligation (interne ou extérieure) ; quand on est perfectionniste, on connait bien ça aussi
Pour les échecs, il faut se dire que ce qui semble un échec à un instant T, sera une ouverture vers une opportunité plus tard. C’est comme si tu te trompais d’avion ou de bateau. La Vie te dit : Tu veux aller au soleil, mais là, tu es en train de prendre un bateau vers le grand nord. Ce n’est pas ta route, là. Et quand on le vois comme un cadeau, les émotions plombantes… elles sont tout de suite remplacées par de la joie et de la gratitude !
En attendant, bon cheminement Magali
J’adore les exemples, ça nous rassure instantanément.
Merci Isabelle !